Sonneries
 
°  A envoyer
°  A composer
 

Logos
   

 


Opérateurs
 
° Oranges
° SFR
° Bouygues
 

 



Boutique
   

 


Dictionnaire
   

 


Santé Explication
 

 

Essais d'explications physiologiques :

 

On a vu à quel point l'éventualité de développer un cancer a été souvent évoquée précédemment. On pourrait donc penser que la pollution électromagnétique se situe à l'origine de certains cancers. Ceci n'est peut-être pas à exclure, mais n'est pas nécessairement vrai. On sait maintenant que de nombreux cancers, provoqués par les causes les plus diverses, passent inaperçus, dominés par un système immunitaire encore suffisamment actif et vigilant. La naissance d'un cancer signifie la production de cellules anormales. Le développement de ce cancer signifie leur prolifération. Celle-ci ne devient macroscopiquement évidente qu'à partir du moment où les défenses immunitaires naturelles du sujet sont submergées. Le vrai problème est de savoir pourquoi l'immunité a perdu ses capacités naturelles.

 

Toute multiplication cellulaire, qu'elle soit naturelle ou pathologique, implique un dédoublement des chromosomes, opération à haut risque mutagène, dont on connaît de mieux en mieux maintenant les mécanismes régulateurs, correcteurs et stabilisateurs, d'une fantastique précision, et pourtant imparfaits. Ce sont évidemment les cellules qui se divisent le plus qui sont les plus sujettes à des anomalies induites. C'est la raison pour laquelle la moelle osseuse ainsi que le système nerveux au cours de son développement, fotal d'abord puis dans la prime enfance, sont les cibles les plus vulnérables des pollutions les plus diverses et en particulier de celles dues aux ondes électromagnétiques. Et il en est de même des cellules reproductrices qui, de par leur nature même, présentent une telle vulnérabilité. Il n'est donc pas étonnant qu'il soit souvent question ici de cancers des testicules ou des voies génitales féminines.

 

On sait que la membrane cellulaire, si mince soit elle, est l'objet d'une polarisation électrique, de l'ordre de 70 mV, absolument essentielle à la survie de la cellule. Il serait étonnant que l'intervention d'une fluctuation électromagnétique très énergétique n'influence pas cette polarisation. Et il est maintenant clair que cette influence est déterminante.

 

Dans beaucoup d'hôpitaux suédois, la méthode d'émission d'énergie par un émetteur pour obtenir un effet thermique concentré, afin de traiter des hypertrophies de la prostate (un trouble impliquant des difficultés urinaires affectant tôt ou tard la plupart des hommes âgés) est communément appliquée. On a découvert qu'une fréquence porteuse de 915 MHz fournit le meilleur effet thermique durant le traitement. La fréquence d'utilisation des GSM serait-elle mal choisie?

 

 

Effets des radiofréquences sur les fonctions du cerveau et sur l'ADN:

 

Le rapport d'avril 1995 de Neil Cherry a déjà été abondamment cité. Voici encore l'essentiel d'un passage particulièrement intéressant. "J'ai été en mesure de prendre contact et de correspondre avec le docteur Lebrecht von Klitzing, professeur à la faculté de médecine de Lübeck (Allemagne). J'ai pu contrôler ses affirmations concernant les modifications de tracé qu'il a mesurées dans l'EEG de ses étudiants lorsqu'ils étaient exposés à de très faibles niveaux d'irradiation par micro-ondes pulsées."

 

"Les niveaux d'intensité concernés n'atteignaient pas 1 µW / cm2 dans le cerveau des étudiants. Il utilisait une onde porteuse vibrant à 150 MHz et modulée à 217 Hz."

 

Dans un article écrit dans une revue allemande (Wohnung + Gesundheit), le docteur von Klitzing fait remarquer que les réseaux actuels de téléphonie cellulaire digitale fonctionnent à l'aide d'impulsions réglées sur 217 Hz environ. Il ajoute : "Les champs à haute fréquence pulsés à basse fréquence ont un effet, même à très faible puissance, sur l'électroencéphalogramme humain. Le système de communication intercellulaire est-il perturbé par ces champs ? C'est possible. A ce stade, l'explication est inconnue"..." Quoi qu'il en soit, il y a des effets biologiques. !"

 

Les niveaux d'exposition dont se sert le docteur von Klitzing dans ses expériences de laboratoire sont équivalents à ceux qui peuvent se mesurer tous les jours à une distance de 100 à 500 m d'un relais cellulaire de 50 Watt. Au cours d'une démonstration utilisant un téléphone cellulaire digital à Erkrath, près de Düsseldorf, le 14 mars 1994, le docteur von Klitzing déclara : "Des effets biologiques apparaissent dès que la densité de puissance atteint 0,1 µWatt / cm2. Quand j'expose une personne à un signal modulé à 217 Hz, typique d'une transmission par téléphone cellulaire digital, l'EEG présente un pic élevé dans la région des  10 Hz. L'EEG ne réagit qu'en présence d'une pulsation répétée constamment et ne réagit pas quand celle-ci est variable. L'EEG manifeste des pics et des courbes, sous l'influence des transmissions digitales, qu'on n'a jamais vu auparavant. Des pics non reconnaissables. Ce qui est surprenant, c'est que ces pics persistent un certain temps après la fin de l'exposition... au moins quelques heures, parfois quelques jours, et même une semaine."... (Suivent quelques considérations sur les précautions prises par Neil Cherry pour s'assurer de l'exactitude des traductions de l'allemand et aussi de l'excellente réputation du docteur von Klitzing...). "Nous avons discuté des hypothèses possibles sur les processus physiques par lesquels le signal pulsé peut pénétrer à l'intérieur de la structure à la fois biologique et électromagnétique du cerveau. L'hypothèse physique que nous discutons et testons actuellement est celle selon laquelle les micro-ondes transportent de l'énergie jusque dans les tissus du cerveau où la fréquence de modulation entre en résonance avec les rythmes alpha et beta du cerveau. Les résultats présentés dans le dernier article de von Klitzing vont dans le sens de cette hypothèse..."

 

Voici ce qu'indique le docteur von Klitzing dans un fax daté du 7 mars 1995 : "Je pense que vous êtes sur la bonne voie (et c'est la mienne aussi) dans votre interprétation des influences subcellulaires dues aux télécommunications par GSM. Non seulement l'EEG est altéré, mais nous constatons des changements dans la réponse des systèmes immunitaires (lymphocytes ou cellules sanguines) ou dans la régulation métabolique des cultures de cellules (cellules de levure)... Notre hypothèse est que dans les chemins de la communication intercellulaire, la périodicité des signaux à haute fréquence pulsés à basse fréquence interfère avec "l'horloge interne" biologique".

 

La question qui se pose alors est de savoir si cette énergie absorbée par l'ADN peut mener à sa rupture. C'est bien le cas, et à ce sujet, Neil Cherry cite, après Swicord, un passage d'un article de "Microwave News", de nov.- déc. 1994, intitulé : "Microwaves Break DNA in Brain, Cellular Phone Industry skeptical". Voici ce passage : "Une irradiation par micro-ondes de faible niveau peut causer des ruptures d'ADN dans le cerveau d'animaux en laboratoire, selon des études poursuivies aux USA et en Inde. Ces résultats nouveaux, qui ont suscité beaucoup d'intérêt dans les milieux industriels concernés, suggèrent que les micro-ondes puissent agir en tant qu'agent causal du cancer".

 

Les docteurs Henry Lai et de Narendra Singh de l'Université Washington à Seattle ont trouvé qu'une simple exposition deux heures à des radiations de 2,45 GHz (celle des fours à micro-ondes), à des niveaux habituellement considérés comme inoffensifs, peut augmenter le nombre de ruptures d'un seul brin d'ADN dans les cellules du cerveau de rats. "Un ADN endommagé est lié à un début de cancer : s'il y a une erreur dans le processus de réparation, cela peut conduire à un problème. Nous avons encore un long chemin à parcourir avant de tirer des conclusions définitives", ajoute le docteur Lai, en faisant aussi remarquer que "des ruptures d'ADN peuvent stimuler les mécanismes de réparation de cet ADN, ce qui pourrait conduire à un effet bénéfique".

 

Une seconde étude sur des animaux, menée par une équipe sous la direction du docteur Soma Sarkar de l'Institut de Médecine Nucléaire et de Sciences Appliquées de New Delhi (Inde), a trouvé que dans le cerveau et les testicules de souris, l'ADN avait subi des "réarrangements" après exposition à des micro-ondes à la même fréquence et approximativement à la même intensité que dans l'expérience de Lai et Singh. Sarkar et ses collaborateurs concluent qu'une réévaluation du potentiel mutagène des micro-ondes "semble impérative".

 

 

4. 2. Effets biologiques des radiofréquences constatés spécifiquement sur certains organes:

 

L'étude de Doull et Curtain de janvier 1994, citée précédemment, tente de faire le point sur les possibilités d'explications physiologiques de l'effet des micro-ondes sur la santé.

 

Elle décrit les recherches soviétiques au sujet des effets non thermiques des micro-ondes, notamment sur le fonctionnement du cerveau humain. Les conclusions de ces recherches révèlent la totale inadéquation des normes américaines : même la plus sévère (à 10 µW / cm2) est encore considérée par les Russes comme dangereuse pour l'être humain. Les Russes ont étudié les effets sur le cerveau, sur le système nerveux et sur les cellules en général de longues expositions continues à faible niveau. Il apparaît de nouveau que les radiations pulsées conduisent à des effets biologiques plus prononcés que les radiations continues. Les effets biologiques non thermiques, c'est-à-dire se produisant en dessous de     1 mW/cm2 (= 1.000 µW / cm2) (donc en dessous de la densité d'irradiation d'un utilisateur de GSM), mentionnés par Doull et Curtain sont les suivants: vibrations moléculaires; réactions photochimiques et phénomènes bioélectriques affectant le cerveau, le système immunitaire, le système reproducteur, le système nerveux, le système cardio-vasculaire, le métabolisme du fer, l'hématopoïèse (formation des globules rouges du sang), etc, et mettant en jeu l'activité enzymatique aussi bien que la structure cellulaire elle-même.

 

En ce qui concerne les glandes endocrines, on constate que des intensités fortes (au niveau dit "thermique") suppriment la production des hormones hypophysaires (glande située sous l'encéphale qui sécrète de nombreuses hormones, dont l'hormone de croissance) et celle d'adrénaline, tandis que des intensités faibles (non thermiques) les augmentent. Quant à la fonction thyroïdienne, elle est stimulée par une irradiation radiofréquences à 3 mW/cm2. La fonction sexuelle a déjà été mentionnée précédemment.

 

 

4. 3.  Effets des radiofréquences et des fréquences des GSM sur le sommeil:

 

 

 

 

 

 

 

Jeux
 
 ° Snake
 ° Pairs II
 ° Bantumi
 ° Space-Impact
 ° Rotation
 ° Racket
 ° Opposite
 ° Snake
 ° Pairs II
 ° Bantumi
 ° Space-Impact
 ° Rotation
 ° Racket
 ° Opposite
 

 


Santé
   

 


Votes
   

 

 Copyright © 2002 [Royal-Phone] - Tous Droits Réservés.
Toute reproduction totale ou partielle de ce site est strictement interdite.